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Billet du jour : de l’entrepreneuriat à l’infopreneuriat

Quel plaisir de revenir sur ce blog. Pourquoi une absence aussi longue ? Eh bien je pivotais pour me consacrer à 100% dans la formation en partenariat avec des organismes vraiment chouette. Du coup, me revoici aujourd’hui pour te partager mes leçons après 1 an et demi d’entrepreneuriat (eh oui, je suis toujours là, après une crise sanitaire mondiale et avec de beaux projets à venir donc chouette).

Sans plus attendre, voici tout premier vrai bilan après un an et demi d’entrepreneuriat :

  • L’énergie est le meilleur indicateur de ce qui est fait pour toi. J’explore en permanence et il est vrai que mon niveau d’énergie diffère dans la formation. J’aime la transmission, l’interaction, je rencontre majoritairement des belles âmes (sauf exception) et j’ai plus d’impact que dans l’exécution (d’autant que le métier de Social Media Manager est toujours méprisé en France, même après une pandémie).

  • Quoi que vous fassiez, il y aura toujours des gens malintentionnés qui essaieront de vous détruire : bon pour celle-là pas vraiment de surprise, j’ai déjà bien eu mon lot dans la vie, en particulier lorsque j’ai commencé à aller plus loin en études supérieures côté cours, et pour autant je suis encore là. Mais je les pardonne en vrai, la plupart des gens ne donnent que ce qu’ils ont à l’intérieur. A présent moyen long terme sur l’échelle du bonheur et de la paix intérieure, j’en sors gagnante et c’est le plus important.

    On demande toujours aux mêmes de se taire et d’être humble : moi je trace mon sillon librement en vivant comme je l’entends, en mettant mes propres limites et peu importe si ma lumière agace, je ne la diminuerai pas pour autant (mes apprenants me disent d’ailleurs souvent merci pour ça, j’ai enfin trouvé ma voie).

    Et vu les bâtons dans les roues que j’ai brisé : oui je peux être fière de moi. Et vive la mentalité anglo-saxonne !

  •  Trouver ton why rends les choses bien plus facile. Je sais pourquoi je fais ce que je fais et je sais que cette énergie là, inépuisable, rends le reste caduque. Pas de biais de négativité, j’aime la véritable beauté humaine et me focalise dessus. Le reste n’a pas d’importance.

  • Trouver tes associés viendra rapidement lorsque tu seras dans le bon chemin. Et là j’aimerais prendre le temps de remercier sincèrement mes chers Partenaires.
    Je peux enfin être mon vrai moi, dans toute ma zébritude. Merci, ça vaut tout l’or du monde.

  • Entreprendre demande beaucoup de travail et de compétences mais amène cette fierté qu’on ne pourra jamais t’enlever : celle de regarder en arrière sans regrets, être confiant pour le présent et l’avenir et admirer avec sérénité l’entièreté du chemin parcouru. Ca vaut vraiment tout l’or du monde.

Pour finir ce post spontané, comme le dirait Michelle : I’m Becoming. La vie est encore longue et pleine de belles surprises. Même pour les choses moins cool, je dis déjà gratitude, car je sais que ma résilience (#zèbre) transformera tout ça en quelque chose de plus fort et plus beau.

L’entrepreneuriat est la plus belle école de la vie qui soit. J’ai pris la bonne décision (surtout quand je vois 2022 arriver, je serai tranquille et à l’abris). 

J⁄’aimerais terminer par un extrait tiré d’un post de la très inspirante Nina Ramen de Germinal sur LinkedIn :

« 𝙇𝙚 𝙨𝙪𝙘𝙘𝙚̀𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙢𝙤𝙞𝙣𝙨 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙞𝙙𝙚́𝙧𝙚́ 𝙦𝙪𝙚 𝙘𝙚𝙡𝙪𝙞 𝙙𝙚𝙨 𝙝𝙤𝙢𝙢𝙚𝙨
 
Un professeur a présenté le même cas d’étude de Heidi Roizen (une entrepreneuse de la Silicon Valley), à deux groupes d’élèves.
L’un des groupes Heidi a été rebaptisée Howard.
 
Les élèves ont considéré que Heidi et Howard démontraient des compétences équivalentes. Mais tous ont trouvé Howard « génial », tandis que Heidi a été jugée « imbue d’elle-même » et « trop politique ». »
 
La route est encore longue mais rien ne vaut la liberté.

 

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