Hello !
On se retrouve aujourd’hui pour vous raconter les cool coulisses du podcast Kalimanjaro. Le podcast des ambitieux porté par Tanguy de Bangui, a depuis produit 200 épisodes et avance vers ses « ambitions pharaoniques » (c’est sa signature).
La prise de contact
Bon, je vais commencer par un sujet assez touchy en France (allez savoir pourquoi) : la notion biaisée de communautarisme. Voilà, je pose ça là avant ce qui suit.
Donc pour reprendre, j’ai travaillé avec Blacknetwork – entre autres – après mon master. La collaboration et le contact étaient win-win, et Tanguy, le fondateur, s’est intéressé à mon entreprise. Imagine la femme de 26 ans à l’époque (j’allais sur mes 27), qui se lance en freelance (oui c’est aussi de l’entrepreneuriat – juste « solo ») après son master 2 école de commerce et d’ingénieur et mon alternance au sein d’un cabinet d’investissement parisien performant dans des startups deep tech, digitales & impact.
A l’époque, mon ambition était simple : puisque le V.I.E (Volontariat International en Entreprises), ça va être compliqué (en plus il y a eu le covid juste après) – Partons sur une entreprise que je crée en mode Pure Player.
3 avantages notables à ça :
- Pouvoir l’emmener partout à moindre coût
- Faibles coûts de maintenance
- Investissements initiaux bas, montée en compétences hautes (formation continue)
– En ce moment ma préoccupation c’est plus au niveau de l’automatisation et de la diversification, fin de parenthèse –
La minute gratitude (coupure pub)
Merci à l’interview réalisée auprès de la responsable communication d’Evaneos – contexte : mémoire de fin de Master 2 : Corrélation entre e réputation et succès d’une start-up. Petit coucou, car c’est eux qui m’ont appris la notion de Pure player (entreprise qui n’existe que sur le web).D’ailleurs, j’en profite pour remercier toutes les participantes, je vous citerais par-ci et là.
On reprend
Et là : je pars dans tous les sens.
J’ai l’idée d’un accompagnement social media avec une partie exécution (social media manager), une partie « automatisée » – le drive freelance (je l’avais vraiment appelé comme ça).
Et je fais mon truc. Honnêtement 2 enseignements après 3 ans d’entrepreneuriat :
- Faites, et ajustez en cours de route – restez open
- L’idée était simple : travailler dur pour une mise en place avec des bonnes fondations – pour bénéficier par la suite d’un emploi du temps allégé.
Et surtout en période de crise : ayez des objectifs à la semaine. C’est Oussama Ammar qui le dit et pour le coup, ce conseil m’a fait encore être là aujourd’hui.
Bref, le tournage se passe à distance, je suis enregistrée par ordi. Et honnêtement, merci à Tanguy. J’ai appris pas mal de choses ce jour-là :
- Tous les conseils donnés et appliqués par des mentors badass prennent sens au moment T
- Parfois attendre, c’est bien aussi. Il y a beaucoup de choses que je complèterai aujourd’hui avec l’expérience (Mais bon, coup de projecteur crédible appréciable)
- Il faut doser le côté américain en France. Avoir une approche mixte (franco-américaine)
- Être une optimiste lucide est essentiel en entrepreneuriat – savoir s’adapter en conséquence est un super pouvoir. Pour ça, bye le mauvais égo (le bon égo est suffisant), s’adapter en continue sur le long terme.
- Le pitch fait (presque) tout
Pour m’écouter raconter des bêtises (et pas que ^^) de mon plus jeune moi, c’est par ici
Depuis je suis devenu coach Google Ateliers Numériques, consultante formatrice – slasheuse EdTech. Ne jamais s’arrêter.
Comme l’a si bien dit Xavier Dolan : « Tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n’abandonne jamais ».
Digitalement votre,
Angéline
